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 La belle éprise du brasier

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Iyori Asahi Tsubaki
Tenryuu ~ Dragon Céleste
Iyori Asahi Tsubaki


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MessageSujet: La belle éprise du brasier   La belle éprise du brasier Icon_minitimeDim 1 Juil - 11:01

    • Nom : Kisara
    • Prénom : Yomi
    • Âge : 16 ans
    • Sexe : Féminin
    • Village ou Organisation : Kumo
    • Grade : Jônin
    • Code de validation : Validé par Red Rose

    • Description Physique :
      « Sa pluie s’abat avec lenteur sur la terre.
      Légères et versatiles, le temps les suspend dans l’air.
      Cette danse silencieuse semble éternité,
      Et l’Adam frissonne au tourbillon d’ébène.
      Déporté de l’arbre vénérable et décharné,
      Le gardien bienveillant vient à fouler la terre.
      Il rejoint l’homme en chutant de son perchoir,
      Enfin ils s’enserrent de ronces ... Le voilà,
      Le tumulte des cœurs chantants à l’unisson. »

      Penchons nous sur cette ravissante créature. Elle se veut grande d’1m68 pour un poids optimum de 47 kg, une taille fine et une silhouette élancée. Vous devez l’avoir remarqué, c’est la première chose qui nous choque dès qu’on la voit. Oui je veux bien sûr parler de cette poitrine exubérante ou protubérante pour ne pas dire énorme. Un visage un peu rond au teins légèrement rosé. Une belle bouche aux saveurs sucrées, de grands yeux orangés autant que rougeâtres. Des sourcils très fins et roux qui accentuent ses humeurs rayeuses. Une bien longue chevelure rousse. Sa crinière adente émerveille comme le soleil au couchant qui lui fait écho. Des petits favoris très gracieux et une même sensation de chaleur dans le regard de braises. Aussi peut être l’avez-vous remarqué. Bien sûr c’est le premier détail qui vous choque à la vision de cette ange. Je veux bien sur parler de cette forte poitrine, ravissante et édilique à souhait ...

      Son code vestimentaire n’est pas différent d’une jeune fille classique. Elle porte souvent la robe longue comme la courte jupe mais il est ici un habit très original si l’on peut dire. Une veste blanche, à rayures orange, dont elle remonte la fermeture éclair qui laisse voir un décoté plongeant et attrayant. Pour les bras elle les couvre d’un long tissu noir comme de longs gants. Pour le bas c’est simple, une jupe noire gothique et de longs bas noirs avec aussi des renforcements aux jambes comme l’aurait un anbu. Du reste elle arbore un magnifique casque qui est en fait un trésor, son dernier souvenir de son cher père disparut. Et un simple tour de cou en cuir rouge, la lanière dépasse. Ou sinon elle attachera à ce cou ravissant son bandeau. Un zeste de beauté ravissante pour une reine des glaces en intérieur qui aimerait bien fondre.


    • Description Psychologique :
      « Que tombent les bourrasques en tempête.
      Que cette imbrication de haine s’efface.
      D’un battement d’aile de ramage les cendres s’envolent,
      Et le renouveau s’extirpe d’une coulure vermeille.
      Elle nous lègue sont adage lourd et furieux,
      Pour que ces hommes s’éveillent enfin ! »

      Pour ne pas la croire parfaite telle une jolie poupée de chiffon, de son joli minois on la sentira rêche, non prétentieuse mais plutôt diablement glaciale. La solitude gèle les coeurs ! Elle manque de tact pour ne pas bousculer les gens et bien souvent elle s'enferme dans son mutisme figé sur son visage ce qui la rend irritante. Elle est franche et ne mâche pas ses mots voilà pourquoi elle évite les ennuis dans sa tendance taciturne. Enfin elle n'est pas très encline à s'ouvrir, son passé est comme le votre minable et triste, alors à quoi bon rabâcher la misère. Elle n'est pas vraiment empathique, et vos déboires la laisseront de marbre. Si elle peut vous paraitre froide, c'est qu'elle n'ambitionne pas la crédulité du petit peuple. Taciturne et presque nanti, elle n'a jamais vraiment connue cette chaleur humaine, et sans le savoir elle la recherche désespérément. Elle est constamment plongée dans un effroyable mutisme, même au cours de situations tendues elle ne soufflera pas un mot. C'est crispant d'avoir en face de soit une poupée qui vous fixe sans rien dire, comme figée dans le temps, elle observe telle une gardienne de l'éternité. Aussi elle ne bougerait pas le petit doigt pour aider les gens, elle n'aide que si la demande se veut ordonnée, elle est comme ça ...

      Du reste Elle connait fermement la discipline et ne démentit pas aux injures et ordres négligeables, elle suit ces directives sans pousser la clameur vociférante que l'on reconnaît aux mauvais shinobis. Car elle est cette chose, cette arme dictée et forgée sur l'enclume du code ninja. Son coeur ne s’est jamais ouvert véritablement ce qui fait d'elle une mauvaise empatte. Cependant il ne faut pas désespérer à voir le glacier fondre pour découvrir une fleur exquise qui voudrait vivre pour elle et non seulement pour ses missions. Enfin elle est une ombre, l’ombre de sa sœur jumelle Yuki, elle vie pour la servir et la protéger. Mais elle en a assez d’être totalement dans son ombre, alors elle s’ose à se dévoiler en lumière un peu. Elle est impudique et n’a aucune honte à oser le sex-appeal. Enfin elle a une sale manie pyromane, elle aime parfois embraser des choses, vivantes ou non, mais surtout rendre la crémation aux morts et aux habitacles abandonnés ou en ruine.



    • Histoire :
      le père : Raiga Makkakiba (=croc cramoisit) (origine Suna)
      https://2img.net/r/hpimg15/pics/600291BLEACH6001166113.jpg

      la mère : Hikari Kisara (origine Kumo)
      https://2img.net/r/hpimg15/pics/637215Kisarafull381171.jpg


      Chapitre 1 : l’ombre de la princesse

      Il y a 16 ans maintenant, dans le village caché des nuages, on dut déplorer une naissance. Oui déplorer est bien le mot. Pour une enfant né sous une mauvaise étoile. Au sein du clan Kisara on attendait avec euphorie la naissance de la petite princesse. Yuki Kisara ... Mais cette histoire relate en parallèle le début de vie de l’ombre de cette enfant de lumière, Yomi Kisara la précéda. Sauf que l’astre clément de la nuit était passé sous le signe néfaste, l’étoile qui brillait était devenue rouge, comme infernale. Et on nomma l’enfant du malheur, Yomi qui signifie l’Enfer ou l’Au-delà. Il fut conclut que cette enfant serait emmenée loin du village. Elle serait élevée sur une montagne brumeuse détachée du village, et ses parents viendraient la voir souvent. Enfin qui respecte ce genre de promesses, dans le monde ninja, les monstres sont écartés.

      Aussi vers son âge de raison, à peu près 6 ans, la jeune fille vivait toujours dans cette grotte chaleureuse et bien éclairée, bien aménagée et fort sympathique. Sans doute le regret des parents vis-à-vis de cet exil les aura rongés et aura fait qu’ils lui ménagèrent un peu cet espace de troglodyte. Mais sa caverne ne la rendit pas ombrageuse comme aujourd’hui, non elle trouvait l’habitacle vivable. Cependant la petite aimerait découvrir le monde, voir autre chose que la roche de sa caverne ou les nuages qui entoure le pic de la montagne. Un vœu qui lui sera exhaussé ...


      Ce jour là Yomi reçut une visite, impromptue, une grande silhouette fine vint à s’insurger dans son antre. Elle fit quelques pas dans la grotte et même s’ils furent légers et gracieux, les vibrations raisonnaient aux parois. Peu à peu la pâle lueur du jour masqué par les nuages laissa découvrir une merveille. Et l’enfant se jeta dans les bras de cette belle femme, sa mère. Cette femme était parée comme son enfant d’un habit vétuste et simple, juste un drap miteux de nomade. Bref la petite Yomi était totalement écartée de la vérité. En effet la famille Kisara était une noble famille de Kumo, possédant une petite renommée au sein du village. Mais tout devait être inconnue à cette enfant, même son nom de famille. Alors lorsque la mère s’en alla, car ces visites étaient brèves et délicieuses, Yomi décida de la suivre cette fois-là.

      L’enfant de l’aube traqua discrètement la femme, sa chevelure blanche éclatante ne passant pas inaperçue. Elle dévala donc le flanc de la montagne pour après une bonne heure de filature, atterrir au village caché des nuages. Elle ne comprit pas la magie qui l’enivra et elle perdit un peu de vue sa cible. Alors elle se mit à sa recherche, courant telle une dératée dans ces rues brumeuses où personne ne fit attention à elle. Et c’est par miracle qu’elle put retrouver cette femme. Hikari lui faisait dos au loin, elle était à l’entrée d’une tour richement décollé, et une porte s’entrouvrit. Yomi ne fit pas attention à l’enfant qui sortit en lumière. Enfin si elle eut un petit pincement au cœur, comme si elle connaissait cette enfant. Mais elle ne pouvait savoir que Yuki était sa sœur jumelle. Et là elle fut profondément choquée, dans l’ombre d’u coin d’un bâtiment, elle se terra pour larmoyer. Elle avait vue une scène troublante. A savoir sa mère prendre dans ses bras la petite aux cheveux similaires à Hikari. Là elle put fonder une petite rancœur, alors voilà qu’on lui mentait depuis le début. Ainsi elle disparue pour s’en retourner à sa dernière demeure, sa grotte. Là un grand homme l’y attendait, son père. Il était assit contre la paroi à l’entrée de la grotte et elle entra sans dire un mot, en colère. Lui se décolla de la roche pour toujours les bras croiser hausser un sourcils et rire.

      Raiga : Et bien quel accueil, qu’as-tu mon ange ?!

      Yomi : Rien je vous l’assure ...

      Elle trainait les pieds et fulminait dans son avancée lamentable, alors il vint lui attraper le bras pour la retenir et la prendre dans ses bras.

      Raiga : Tu sais que tu peux tout me raconter ma fille chérie ...

      Yomi : Votre fille chérie ! Assez de mensonges, j’ai suivit mère. Vous m’avez mentit. Pourquoi dois-je vivre ici toute seule alors que cette fille a un foyer ?!

      Autant dire que la clameur sèche et incisive de la petite furie lui cloua le bec. Et il se dégagea pour s’assoir à même le sol dur. Il la guida à ses genoux et elle s’assit dessus pour écouter ces révélations. Et en sachant l’odieuse vérité, elle laissa les larmes ruisseler à torrent pour tout aussi bien hurler sa peine d’enfant abandonnée. Et lui la conforta en étouffant sa belle bouche.

      Raiga : Je sais que tu nous en veux, mais ne lui en veux pas à elle. S’il te plaid protège Yuki.

      Yomi : Qu’aurais-je à y gagner si ce n’est de rester encore dans l’ombre ?!

      Raiga : La gratitude de ta mère et de moi-même. Si tu l’accepte, je convaincrais ta mère de t’enseigner son ninjutsu détonante du katon Si tu accepte ces devoirs Yomi, tu seras libre d’aller où tu veux.

      Autant dire que l’enfant acquiesça et se jeta à son cou, elle avait cette rancœur grandissante. Elle haïssait un peu sa famille de lui avoir volé sa vie et de la contraindre à être une ombre. L’ombre de sa sœur.



      Chapitre 2 : le rêve hérétique


      Et ce n’est que quelques jours plus tard que s’éveilla le deuxième axe de son nindô. Son père la chatouilla pour lui faire quitter sa pointe de détresse, et elle s’échappa de ses griffes pour se laisser rouler à terre. Puis elle formula une demande équivoque, hérétique. Mais elle ne pouvait savoir que c’était mal, alors elle laissa sa merveille capillaire de feu ruisseler au sol et s’éparpiller ...

      Yomi : Que pouvez vous me dire sur la légende des Frères d’or et d’argent ?

      Raiga : Comment as-tu entendu parler de ceci ?!

      Là Yomi fit le récit d’une nouvelle escapade. Elle s’était infiltrée dans le village pour aller à la bibliothèque. Apparemment elle avait essayé de trouver des informations dans les archives. Elle put facilement, toute silencieuse et maline qu’elle est, gagner le tombeau interdit. Là dans cette pièce scellée elle trouva nom pas le livre des Kisara mais des Kingin Kyôdai. Elle ne pu vraiment apaiser sa lubie du mystère, mais ces maigres informations la chamboulèrent. Alors la voilà qui veut savoir si ceci est vérité ou mensonge du village ... Alors la voilà qui se redresse à quatre pattes et rampe à l’homme qui rage de la bêtise de l’enfant.

      Yomi : Le village a-t-il encore façonné un mensonge sur des grands ninjas ? J’aimerai être comme eut, être reconnue !

      S’en était trop pour cet homme, sa propre fille qui devait vivre dans l’ombre aspirait à devenir un odieux monstre sans le savoir. Alors il la gifla et tendis qu’elle lui tendait une main en sanglotant, elle le voyait partir de sa tanière. Il disparut dans les ombres, jamais plus elle ne le révéra ...

      Ce n’est que des jours plus tard, que la mère vint la choyer, elle cette enfant qui avait inondé le sol rocailleux de larmes. Hikari lui souffla de sincères excuses, redoublant les souffrances du malade dans les pleurs en harmonie. Se navrant de ne pouvoir voir sa fille chaque jours, mais il en était ainsi. Yomi était un potentiel danger pour le village, mais en fait c’est parce qu’elle fut écartée qu’elle transformera sa haine en fureur dévastatrice. Son pouvoir n’en sera que plus grand et elle voudra se venger ... Alors elle se calme sensiblement et se tire toute seule de la couche (le lit) et elle défit d’un regard de braises empestant la haine, à cette lueur folle la dame blanche se dit qu’elle doit lui canaliser ce noirceur.

      Hikari : Il est temps Yomi que tu apprennes à canaliser tes émotions, à t’endurcir pour accomplir ton devoir. Je vais t’enseigner notre art.

      Elle ne mentait pas, pour un fois. Et durant quatre longues années la mère instruisit la fille, au maniement du sabre. L’enfant des enfers devenait tant habile et parfaite dans la danse du sabre qu’elle effrayait sa génitrice. Car Yomi s’en était retrouvée transformée. C’est dans la douleur de l’effort terrible qu’elle du ressentir les coups et apprendre à les esquiver, les parer, les dévier ou même les encaisser. Seulement au cours de ce dernier entrainement, Yomi apprit de la bouche de sa mère que son père été mort en mission et elle succomba à la rage et aux larmes. Son chakra particulier se réveilla un semblant pour que son épée s’enflamme et qu’elle parvienne à brûler sa mère en passant dans son dos. Celle-ci hurla à la morsure des flammes et Yomi en fut tant confuse qu’elle se jeta au feu pour l’étouffer. Elle se blessa un peu mais sa mère fuit la place. Laissant son enfant dans le regret au sanglot ...



      Chapitre 3 : la poésie du feu

      Bien des années passèrent, en secret elle avait put obtenir le grade de genin et elle avait pour tache d’aider secrètement sa sœur dans ces missions. Alors elle finit par feindre la soumission, elle la suivait comme un ombre, devenant son ombre. Yomi poursuivait toujours ce dos de jeune fille éclatante. Elle la jalousait tant, ne pouvant la rattraper pour tout lui cracher au visage. Elle aimerait sa place d’héritière, même si Yomi est la meilleure, le dragon qui couvre Yuki d’ardentes ailes pour la couver et la protéger. Elle profitait de son temps en extérieur pour parfaire sa maîtrise du katon, sa haine étouffée au secret la rendant plus forte. Et a force de persévérance et d’ennuis aux misions où elle n’avait que peu souvent l’occasion d’agir, elle finit par atteindre l’âge de 14 ans.

      Tout était calme, l’équipe de Yuki était en mission dans un petit village fortifié. Un lieu de pauvres gents aidés par des soldats installés depuis la dernière guerre. Ce fort se situait à la charnière de la frontière du pays de la foudre et de celui du Feu. L’équipe s’installa amicalement dans le camp et Yuki devrait assurer la sauvegarde du village contre des forbans méprisables. Yomi elle avait établit son nid non loin, à lauré de la forêt qui bordait le bourg, du côté de Kumo. La journée passa, elle fit la sieste tout en gardant un œil avisé sur Yuki qui s’amusait à aider ces stupides villageois. Ils devraient trembler car la ruine les attend, et elle se moque ouvertement d’incendier ce village pour protéger sa sœur. Ainsi donc elle prit le temps de se reposer puis la nuit tomba. Les flambeaux de la garnison reluisaient dans l’obscurité.

      Et le dragon sortit de son sommeil, elle se mit à courir dans la noirceur pour atteindre le point nord du village et s’y infiltrer. Elle escalada en course les palissades avec son chakra dans ses pieds et elle assomma deux gardes qui ne comprirent rien. La rousse fila en directions des toits pour se faire discrète et se fondre dans le chaos. Car oui si elle avait déboulé par le nord, c’est bien parce qu’un groupe de gredins était arrivé à la charge par le sud. Un colosse défonça la grande porte à la force de ses poings de titan, et des pilleurs s’étaient insurgés sur le domaine. Viol, rapt et meurtre au rendez vous. Sauf que l’équipe de Yuki ferait cordialement barrage aux détracteurs bellicistes. Ces jeunes genin mirent en déroute de banals mercenaires, étant appuyés par le corps des soldats du fort, l’insurrection serait stoppée d’ici peu te temps. Et Yomi du haut de son toit trouvait l’affaire louche, un peu trop facile à son gout.

      C’est là que des explosions retentirent un peu partout et que quelques ninjas renégats firent leur apparition. Sur le grand toit, deux apparurent pour attaquer la belle déesse des flammes. Et enlevant son manteau de traque, Kaji no Hime (Yomi) se retourna lentement, l’œil farouche comme endormit. Terrifiant tout de même un peu ces guetteurs de feu, l’un armé d’une faucille à chaine et l’autre d’une épée banale. Et derrière, bien derrière, à l’autre bout du toit se tenait un homme ou une femme, en tout cas la seule personne inquiétante ...

      Yomi : Je me disais bien que l’affaire était trop simple. Ainsi c’est donc vous le chef de ces larves ...

      L’ombre du lointain gardant son silence, elle pu constater qu’il ou elle était bien le cerveau diabolique de la manœuvre, seulement Yomi n’était pas prévue au programme. Ce qui tournait à son avantage. Elle dégaina sa fière lame éclatante, le Shiranui, un katana entièrement blanc au garde cyan comme son foureau. Et plissant légèrement ses paupières et sourcils de feu, elle semblait comme animée d’une petite flamme. Alors elle entonna le choc des métaux pour produire des étincelles au bras de fer des lames. Et repoussant l’impudent d’un coup de pied elle le trancha avec vélocité et sans la moindre hésitation. Puis l’autre prit de panique lui lança sa chaine pour bloquer son sabre, elle le laissa croire à sa victoire. Et d’une main détachée de son sabre, elle composa le mudra classique.

      Yomi : Katon – Onibi no Mai ! (la danse des feux folets)

      Yomi créa un lot de trois flammes volantes, faibles mais efficaces. Et les maitrisant par la pensée, elle en dirigea une sur le cadavre ou le presque cadavre du premier mécréant qui en s’immolant lentement s’arracha des derniers cris d’agonie. Elle parvint également à embraser celui qui la tenait avec sa chaine. Là il alla se jeter du toit en hurlant, dévoré très lentement par les flammes. Et elle trancha la chaine sans pression d’un coup ample de sabre. Puis elle accourue vers l’ombre qui à l’éclat de la petite boule de feu, en l’esquivant se mit en lumière. Et elle bondit pour échanger un coup de lame, puis un autre, les petites étincelles mirent le fieffé chef à découvert. Un déserteur chûnin de Kumo apparemment.

      Yomi : Voilà l’entourloupe, on m’a envoyé pour vous tuer alors ...

      Et tendis que lui déchirait le ciel d’une lame jaunâtre et crissante de foudre, elle frappa avec ardeur, bien sérieuse et farouche contre cet ennemi. Pour faire jeu égal et que chacun retombe aux extrêmes du toit. Là ce fourbe se baissa pour frapper les tuiles et envoyer un courant rampant jusqu’à elle qui du bondir et lançant son sabre sur lui, il pu l’esquiver et aussi de justesse échapper à un assaut des feux follet. Mais elle avait tout prévu et le laissa bondir à son tour, il empoigna un kunai. Et elle le fracassa en trombe d’un coup de pied puissant, brisant les os. Elle l’emporta au fin fond de la bâtisse en détruisant le toit et les poutres dans son sillage. Là il était un peu enfoncé dans le planché de la maison, et tout ce vacarme attira la belle sœur. Alors Yomi s’enfuit en l’apercevant un fugace instant, elle bondit vivement sur le toit, reprit son sabre et quitta le village. Elle se dit que Yuki pourrait essayer de la pister, elle sa sauveuse de l’ombre ... Bref la mission une fois terminée au retour sain et sauf de l’équipe de la belle, Yomi fut passablement récompensée. On lui dit qu’elle pourrait participer sous un faux nom à l’examen de chûnin d’ici peu ...




      Chapitre 4 : Aimer ou tuer la belle

      Et ce n’est que peu de temps après cet incident où elle a bien faillit être découverte, que la renommée de la jeune Yuki se grandit. Yomi du sur demande du conseil du village (avec le raikage en prime), éteindre sa rancœur et sa jalousie à l’encontre de sa sœur. Et elle se rendit à l’examen. A croire que cet homme aimait s’adonner aux foules, car tous ces genin ridicules furent convier à assister au discours du courage du raikage devant son palais. Elle y assista malgré-elle, se fondant dans la masse inutile. Essayant d’avoir une mine enjouée et hypocrite. Elle avait troqué sa tenue de traque pour l’uniforme du petit peuple, un ensemble noir non moulant, elle voulait passer inaperçue, alors elle avait attaché sa longue chevelure en un chignon et avait caché le tout sous un couvre chef ridicule. Il ne faudrait pas que sa trop grande beauté attire les regards, non elle laisse tous les honneurs à Yuki. Au moins comme ça elle passera tel un fantôme aux yeux de tous, et lançant un clin d’œil au raikage et s’éclipse pour suivre l’équipe de sa sœur, dans la brume et depuis les toits. Elle se fit bien discrète ...

      L’épreuve consistait en une orientation dans les sommets brumeux écartés loin du village pour retrouver des talismans cachés. Yomi se disait que l’affaire serait facile, puisque ayant vécue dans ces monts, elle les connait comme ça poche et elle est surement la seule acclimaté au relief. Car la montagne met à rude épreuve les citadins, l’oxygène peut se raréfier et venir à manquer, des pertes de connaissances seront à déplorer, des maux de tête, ou encore un imprudent qui se perdrait pour toujours dans la brume. Le seul hic qu’elle avait, c’était qu’elle devait trainer des boulet, des chûnin infiltrés par les soins du raikage. Eux avaient déjà quelques vertiges, elle conclut avec eux qu’elle avancerait sans eux et rapporterait un talisman pour les qualifier. Eux devraient intervenir sur les autres équipes pour les mettre en déroute tandis qu’elle irait veiller sa sœur. Alors elle s’empressa d’aller la retrouver, pour se cacher derrière des rochers et l’épier.

      Elle se disait qu’ils étaient stupides de se reposer maintenant, des faibles voilà tout. Elle devait simplement détourner au cas où la belle du tracé de sa grotte, car si Yuki venait à déceler un indice sur la vie de son ombre, cela ruinerait tout. Et elle attendit qu’ils se remettent en route. Et dans l’ombre de la belle, une équipe rivale guettait une chance des les terrasser. Seulement avant de leur barrer la route, Yomi laissa partir l’équipe de Yuki. Puis elle s’avança dans la brume, laissant croire qu’elle serait facile à éliminer. Là l’équipe de mécréants n’eut d’autre choix que de l’attaquer. Ils se mirent en lumière devant elle après qu’elle et éviter une salve de trois kunai, avec des mouvements amples et légers. Elle enleva ses vêtements pour se battre, trop bouffants à son goût. Là elle apparut radieuse et flamboyante, de toute beauté. Sa chevelure ballotant au grès de la brise et ses yeux de braises reluisant dans la brume. (tenue de l’avatar)

      La femme du groupe ennemi était piquée au vif, enragée contre la beauté supérieure de Yomi qui s’en moquait absolument. Les deux mâles étaient un peu intéressés mais ils sortirent leur lame alors qu’elle la dégainait lentement. Elle brandit son sabre éclatant alors qu’eux possédaient seulement un kodaichi chacun. Ils avaient se petit rire malingre, se disant qu’ils étaient sur de la vaincre, et elle demeurait impassible. Elle soupira à l’approche des deux fous inconscients. Ils étaient rapides certes mais un samouraï l’est toujours plus dans l’exécution de sa lame. Et avant même qu’ils ne puissent la touche de leurs lames, elle avait fait avorter la chose. Rengainant sa lame au fourreau. Les lames de ces ennemis se brisèrent en vol, et le garde de celles-ci prirent subitement feu. Ils lâchèrent leurs armes inutiles et s’écartèrent pour tenter de la trouer comme une passoire avec des jets de shuriken. Elle ne bougea pas et composa en hâte quelques mudras et inspirer une bouffée d’oxygène puis relâcher un grand souffle de flamme. Katon – Ryuuka no jutsu ! Autant dire qu’elle ne fit pas honte à son surnom de Kaji no Hime, le grand souffle embrasé se propagea pour dévorer ces imbécile tout faisant fondre les armes de jets. Seul la femme du groupe qui s’emblait en être le chef esquiva en sautant l’embrasement. Et Yomi bondit à elle avec tant de vélocité qu’elle ne put parer sa lame qui s’enfonça dans le pauvre kodaichi pour le briser et alla se planter dans la cage thoracique de la femme.

      Yomi : Adieu pauvre inconnue. Katon – Mugen Kasou.

      La technique de la crémation infinie est une technique propre à son clan, maitrisée dans le secret du village, Yomi pouvait en diffusant son chakra dans sa lame, enflammer celle-ci. Pour embraser la cible plantée par la lame, et les flammes vont aller se loger dans le corps de la victime pour la dévorer de l’intérieur, telle une torche humaine. Et Yomi repousse le cadavre qui s’arrache des derniers cris d’agonie pour qu’elle se pose toute légère à côté de ce corps brisé sur la roche qui s’enflamme comme un bonhomme de papier. Elle rentra le Shiranui au fourreau et laissa la plaine rocailleuse dévorée par les flammes. Pour accourir à sa grotte en trombe et et en écarter sa sœur. Elle avait juste oublié de remettre son déguisement et elle surplomba donc sa grotte, cachée derrière un rocher en hauteur. Elle vit l’équipe de Yuki arriver et leur lança un peu devant eux des feux follets, faibles et explosifs, pour les faire déguerpir en prenant une voix grave d’ermite. Ses faux compagnons arrivèrent pour engager le combat en fausseté et repousser l’équipe de Yuki.

      La suite fut qu’elle continua d’espionner Yuki, sa sœur finie par trouver un joyau, et les membres de l’équipe de Yomi en volèrent un. Comme ça il ne restait que peu de gens pour la dernière épreuve. Lorsqu’un éclair frappa le sommet de la grande montagne, la brume se leva et trois équipes seules parvinrent jusqu’au sommet pour se qualifier. L’équipe de Yomi, celle de Yuki et une autre qui avait un bon niveau. Là sur le plateau du mont venteux se tenait le raikage en personne qui présiderait l’épreuve ultime. Là encore le vénérable chef ninja officia un discours joyeux pour récompenser les braves et vainqueur de l’épreuve. Yomi n’en avait que faire et elle soupira même en silence. Et elle redoutait l’idée de ces duels, car même si ces comparses avaient abandonnés, ils avaient déjà le grade, elle ne voulait pas affronter sa sœur. Car si Yuki avait été enseigné tout comme Yomi par leur mère, la jeune fille serait bien vite démasquée. Fortueusement Yomi ne devrait pas affronter sa sœur, non elle regarda avec attention le combat de Yuki qui l’emporta avec une fraicheur à couper le souffle malgré les difficultés du climat. Mis à part le raikage et elle-même, tous perdirent connaissance après leur combat, même les vainqueurs. Et elle livra bataille dans le secret en n’usant pas de son ninjutsu meurtrier. Non Yomi officia gentiment aux coups de lames pour ne pas tuer son adversaire ennuyant. Elle en sortie vainqueur bien sur. Et attendant une bonne heure, que les endormis reprennent vie, elle suivit le raikage qui conduit le cortège vers le village. Là il décerna à quelque uns le grade et elle s’effaça en toute discrétion ...



      Chapitre final : la fin de l’innocence


      Deux années passèrent, elle avait 16 ans, et suivait toujours Yuki dans ces missions périeuses. On peut dire que Yomi devenait plus forte à force de la suivre partout, elle allait vers les talents d’un anbu mais plus en termes de puissance vers un jônin. Le conseil de kumo qui la recevait avec toujours plus d’allégresse à chaque nouvel exploit, eux étaient fascinés par cette arme, ce foyer du brasier destructeur, ce petit biju incendiaire parfaitement sous contrôle. Et même si elle n’a aucun kekkei genkai, on peut dire que sa maitrise parfaite du katon s’en rapproche. Un tel génie est effrayant et en même temps porté en adoration par le Conseil. Le Raikage lui-même en aura fait sa protégée. Mais elle n’aime pas ça, elle les haït depuis toujours pour ne pouvoir être aussi libre qu’elle le voudrait. Yomi aimerait vraiment pouvoir tout raconter à sa sœur, qu’elles soient réunies. Et voilà que l’incident survint ...

      Depuis quelques temps déjà la nuit s’était abattue sur le village, le plongeant dans la grande pénombre. Le Raikage avait expressément demandé à Yomi de se rendre au manoir Kisara pour veiller de très prêt sur la jeune Yuki. Cette mission serait capitale pour son avenir lui dit-il avec un grand sérieux qu’elle redoubla avec inquiétude. Apparemment une lettre de menace avait été envoyé contre la jeune fille, mais Yuki n’en su rien puisque l’anbu intercepta la lettre. Et manque de bol, Hikari, la mère était absente du village. En somme le kage craint que le village ne soit attaqué et il mobilisa ses troupes embusquées un peu partout ... Sauf dans la montagne. Une ombre menaçante s’approchait au pas de course, le silencieux assassin complètement furtif dans sa tenue noire, on ne voyait pas même les yeux occultés. L’ombre assassine s’infiltra par les montagnes, depuis les airs, et s’insurgea au manoir.

      Yomi était déjà là depuis longtemps, elle siégeait dans l’ombre pour veiller la belle qui ne savait rien de la menace. La beauté neigeuse, si pure, si fragile, elle l’adulait tout de même, assez pour s’en éprendre. Car une ombre pour rester fidèle à son maître doit l’aimer et non chercher à la fuir de manière incessante. La belle flamme restait perpétuellement dans l’ombre où ses rubis reluisaient. Cependant elle sentit une présence, le plancher se mit à grincer légèrement lorsque Yuki fut endormie. Alors elle ferma les yeux et se cachant elle effaça sa présence. Alors enfin un corps s’avança depuis les ombres, le futon de la chambre de l’angélique était resté ouvert pour que Yomi puisse piéger l’intrus. La silhouette vient se mettre en lumière, un jônin du village apparemment. Yomi dénota une démarche étrange mais il allait bien essayer de tuer la pauvre enfant. Alors bondissant dans son dos elle lui asséna des taillades dans le dos à trois reprises pour le voir s’écrouler. En fait il avait été manipulé par une technique de sceau qui s’implante dans le cerveau. Et dans le dos de la jeune fille apparut le véritable assassin, drapé entièrement de noir, ses yeux masqués par des lunettes.

      Enfin le marionnettiste, le rat sortait de sa cachette infâme. Yomi se posta ardamant en garde, se disant que son ennemi devait être jônin ou peut être anbu. Elle plissa ses sourcils de feu et serra les dents avant d’enflammer son épée. L’ombre sortit d’on ne sait où un kodaichi emprunt de raiton crissant légèrement. Et celle-ci chargea, mais Yomi eut du mal à la repousser, à tel point qu’elle du s’enfoncer dans la chambre pour se maintenir debout. Là Yuki se réveilla lorsque yomi la bouscula et elle prit peur pour croire qu’on allait l’assassiner. Et alors que la belle rouge eut été déconcentrée par Yuki, l’ombre lança un kunai qui se planta dans l’épaule gauche de Yomi qui hurla un peu. L’assassin se rua alors sur la pauvre enfant sans défense pour essayer de la tuer et Yomi fit avorter la manœuvre en la frappant sans vraie force dans le dos. L’épée enflammée déchira l’habit noir qui prit feu et l’ombre hurlante se rabattit en arrière pour hotter ses habits. Quelle ne fut pas l’horreur de la surprise. Cette merveille capillaire tombant en cascade pure et blanche et ces yeux d’un cyan si apaisant. Comment avait-elle pu devenir un tueur.

      Yomi : Mère, mais pourquoi ?! Expliquez-vous !!

      Hikari : Tu as faite tant de progrès Yomi, je suis fière de toi. Tu diras à tous que l’Akatsuki dominera le monde, à commencer par Kumo !

      Et la belle déesse nue enfila cette veste noire aux nuages rouges puis elle éclata de rire, passant maintenant pour un terrible montre. Yomi cria à sa sœur de s’enfuir trouver le raikage et de lui raconter cette nouvelle diabolique. Autant dire que la jeune fille prit ses jambes à son coup et que Yomi attaqua avec fureur sa mère pour qu’elle ne la prenne pas en chasse. Elle se baissa à genoux fléchis et à deux mains fit naitre un début de brasier, le foyer partant du plancher de la pièce pour s’attaquer à tout. Ce jutsu portant le nom de Shijou Kaji (incendie suprême). Car Hikari Kisara était un anbu très puissant du village. Yomi restait tout de même un obstacle alors elle mit le feu au manoir pour l’y piéger dans un combat à mort. Mais Yomi n’avait pas la moindre peur du brasier, elle savait aussi en faire un allier. Aussi arrachant le kunai de son épaule, et lui rendit avec le jet. Autant dire que la dragonne blanche l’évita avec légèreté et grâce. Yomi en profita pour porter l’estocade grondante mais sa lame esquivée alla se ficher dans le mur en bois. Et plaquant son pied contre la paroi, la belle se retire pour avoir le temps de contrer un assaut de lame de son mentor. Mais elle trouvait que celle-ci la ménageait.

      Et avec la bâtisse en flamme, des anbu se rameutèrent pour certains essayer de l’éteindre de l’extérieur et d’autres de venir à la rescousse de Yomi. Celle-ci était aux prises avec sa mère, trop forte. Hikari malmena donc sa fille qui souffrait bien de sa blessure à l’épaule et Yomi s’épuisait. Mais la dame blanche n’attaquait pas avec toute sa ferveur, ne voulant en vérité pas tuer sa fille. Et lorsque les forces spéciales arrivèrent, elle se laissa piéger au genjustu shibari, là un anbu voulut aider Yomi mais elle le repoussa en déchirant l’air d’un coup de lame. Elle haletait et rageait contre sa mère.

      Hikari : Tu vas sans doute me tuer Yomi mais tu n’auras pas réussi à me dépasser ni moi ni les Kingin Kyodai ...

      Yomi : Taisez vous traitresse ! Katon – Mugen Kasou !!

      Le raikage aurait voulut l’interroger lui cria un abnbu qui ne put l’arrêter. Elle qui vint empoigner avec fureur dans la douleur son épée pour empaler cette femme. Hikari laissa ployer sa tête en crachant une flopée de sang au visage de la belle, cette mère qui lui souffla des mots tendres, lui demandant de veiller sur Yuki. Qu’elle n’avait pas eut le choix que de passer par cette mascarade. Là Yomi laissa les torrents cristallins embraser sa lame puis le corps de sa mère qui se consuma devant elle en sanglot. Et tandis que le cadavre en crémation disparaissait, il fallait fuir la bâtisse dévorée par l’immense brasier. Ainsi les anbu escortèrent la jeune fille blessée qui rangea sa lame au fourreau. Elle pu s’extraire presque indemne du lieu sinistrée et elle demanda si Yuki allait bien. Et on la conduisit au près d’elle, dans le palais du raikage. Pour les isoler tous les trois.

      Yomi : Voilà que les masques tombent, Yuki je sui ta sœur ...

      Raikage : Laisse Yomi, vas donc te reposer.

      Lançant un doux regard à sa sœur qui la retint, elle sourit puis gémit à sa douleur de l’épaule. Elle put partir se faire soigner tandis que le maître répondrait à toutes les questions de la belle. Ainsi Yuki su toute la vérité et le lendemain le Conseil rappela Yomi pour la nommer en grade, jônin éméritée qui pourrait aujourd’hui se révéler en lumière et vivre comme elle l’entend, découvrir sa sœur et vivre avec elle. Enfin elle avait toujours pour ambition de dépasser ces héros noirs, mais elle nourrit une rancœur solide contre cette Akatsuki. Elle aurait l’appui du village pour se venger ...



Dernière édition par Yomi Kisara le Ven 10 Aoû - 14:59, édité 2 fois
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Moryu Uzumaki

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MessageSujet: Re: La belle éprise du brasier   La belle éprise du brasier Icon_minitimeDim 1 Juil - 13:10

Ton histoire est passionnante, le suspense, l'émotion, un vrai régal ...

Tes descriptions sont correctes, je suis d'accord pour que tu sois Juunin ^^

... Enfin, il ne manque plus qu'une seconde validation ...
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Satori Tokei Murakumo
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MessageSujet: Re: La belle éprise du brasier   La belle éprise du brasier Icon_minitimeDim 1 Juil - 13:54

Rien à dire de plus Smile

Je valide aussi juunin
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